-
Chaque matin, le grand plaisir d’Aurore, c’était d’aller admirer le lac,
bleu, merveilleux, …
Dans sa gloire tranquille, le soleil irradiait ses rayons et répandait une douce chaleur.
Ce moment-là, elle l’attendait tous les jours,
loin des faux-semblants, de la vie trépidante du quotidien.
(les mots m'ont été inspirés par les vacances merveilleuses de paix que nous avions passées à Annecy)
-
Vous allez trouver cela peut être futile mais ça me fait du bien !
En ces temps difficiles, se vider la tête ne peut être que salutaire !
Merci à la créatrice, Barbara et Lisa T pour sa parfaite traduction.
lien vers le tuto
-
Je me baladais avec un ami par ce bel après midi de fin d'été, dans cette belle campagne auvergnate dont je garde tant de beaux souvenirs. J’avais une dizaine d’années.. Mes frères vinrent nous rejoindre car nous avions l’habitude d’aller chercher des bouquets de fleurs sauvages dans un champ en forte pente et ainsi vérifier l’avancement de la maturité des noix. Le noyer trônait au milieu de la prairie en fleurs.
Arrivés sur place, nous vîmes avec surprise la mue d’un « serpent » ce qui déjà, me tétanisa. Brusque recul pour ma part alors que les garçons, armés d’un bâton allèrent voir cela de plus près.
Au bout du champ, un échalier nous permettait de franchir la haie et ainsi reprendre le petit chemin de terre, baigné de soleil et nous avons continué notre balade rituelle.
Tout était silence hors le chant des grillons et les réflexions des garçons qui me taquinaient de temps à autre. Ah il fallait être quelque peu garçon manqué pour aller courir ainsi les champs avec eux. Déjà bien machos les gars !
Sur la gauche, derrière un buisson un faisan doré s’envola dans un vol coloré du plus bel effet. Ses ailes aux battements lents et lourds étaient magnifiques.
Le soleil, en ce début d’après-midi, rendait le chemin de terre presque blanc et nous éblouissait. Ce qui expliqua sans doute que je ne me rendis pas compte que nous arrivions près d’un champ bordé d’un muret de pierres sèches dont je me méfiais particulièrement. Les aînés m’avaient expliqué que les vipères adoraient se prélasser ici ..
Longeant celui-ci, mon frère aîné, qui connaissait ma peur panique des rampants, poussa un cri : « une vipère … là » en pointant son doigt.
Vivement, je passais à gauche et courus éperdument vers la maison ...
merci de m'avoir lu.
-
Coucou ma Ghislaine.. Voici mon texte :
J'aime...
Quand tu viens me rejoindre à la cuisine et que nous imaginons des recettes
où tu mets toujours ta "patte"
J'aime...
Quand nous partons en voyage , destinations fabuleuses où vivent des personnages habillés de tissu blanc..
J'aime...
Quand tu m'inventes des histoires en découvrant des insectes cachés dans la verdure...
J'aime...
Quand tu m'invites à habiter dans ton imaginaire pour des moments de pur bonheur..
J'aime... être avec toi !!! et j'en profite pleinement !
-
mon texte contenant plus de 5 mots avec IQUE
L'autre matin, je m'dis :
"écoute ton sens pratique,
n'utilise plus de produits chimiques "
Pas de panique !
ma fille,reste logique !
C'est ainsi que j'applique
le savon authentique
sur l'éponge cylindrique
et je frotte, frotte, frotte !
huile de coude comme une tactique !
Désormais,ce sera ainsi :
Je ne céderais plus aux pubs tyranniques !!!!