Hello amies qui passez lire mes modestes écrits... 

Aujourd'hui, je suis devant cet écran, les mains prêtes à pianoter sur le clavier sans avoir en tête un thème pour faire ce défi...

Je suis encore dans ce concert de jazz auquel j'ai assisté hier en compagnie des enfants...

Formidable après midi à la découverte de la musique... Dommage, elle n'est pas à leur programme scolaire !

On est tellement happé par la vie, tellement ancré dans nos habitudes, les jeux à la TV, qu'il ne faut pas rater (enfin ce n'est pas mon cas) etc.. que nous en négligeons certaines choses, par exemple la musique ! 

Ecrire et parler musique est un plaisir que nous avons partagé et qu'elle ne fut pas ma surprise quand j' ai  entendu les enfants taper dans leurs mains au rythme des guitares... formidable moment d'émotion !!! 

Donner des moments de plaisir aux enfants est toujours motivant.. et quand le pianiste a expliqué comment on pouvait amplifier ou changer le son des notes en posant une feuille de papier sur les marteaux, j'ai aimé.

les enfants étaient étrangement calmés au sortir du concert, de la musique plein la tête et des commentaires pertinents ! 

Un excellent moment musical pour se détendre !!!!!!! 

C’est avec le plus beau sourire dont nous étions capables que nous t’avons recueillie, ivre de fatigue.

Sans te poser de questions, nous avons tenu à te soulager de ton fardeau, si lourd…

qu’il soit physique avec ta grosse valise, ou la cause de ta grande colère.

Nous t’avons proposé du travail car tu voulais ne dépendre de personne.

Aujourd’hui, tu t'engages à nouveau dans la bataille, et nous le comprenons ; et souhaitons que tu la gagnes !

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 Voilà un petit texte inspiré par les mots proposés par Ghislaine ! texte venant juste de mon imagination !

j'ai choisi la forêt

je partage tout à fait les paroles prononcées par Sissi dans un de ses films 

merci Gisèle.

Hello ami(e)s  lectrices et lecteurs

Voici mon écrit pour Ghislaine

et j'ai choisi la phrase (en rouge)

Nous venons de lire, avec mon petit fils, Matilda de Roald Dahl...

Bien sûr ce livre Folio Junior était pour lui, mais il aime beaucoup partager ce qu'il fait avec moi, histoire d'en parler, de dire ses émotions..

Ce livre raconte l'histoire d'une petite fille, dont les parents ne s'occupent absolument pas.

Mis à part la nourrir, ils ne s'intéressent pas à elle. 

C'est une enfant extrêmement intelligente, qui adore lire. D'ailleurs, à 5 ans, elle dévore tous les livres qu'elle trouve à la bibliothèque du quartier. 

Et puis elle rentre à l'école, et évidemment, son savoir et son apprentissage hyper rapide en font une élève pas comme les autres. Sa maîtresse est une jeune femme douce, consciente des possibilités de l'enfant mais la directrice, une matrone qui déteste les enfants et qui est plutôt malhonnête (mais on ne le saura qu'à la fin), est impressionnante de méchanceté vis à vis de tous et particulièrement des enfants. 

Matilda va développer un don pour déjouer en douceur la perversité de la directrice et tout rentrera dans l'ordre.

L'histoire fera qu'elle envisage de quitter ses parents, mais juste avant son départ, il se passera un événement qui va précipiter les choses.

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Un joli livre qui a amené mon bonhomme à réfléchir et moi aussi d'ailleurs, car quand j'étais enfant, je suis tombée sur des enseignants qui n'hésitaient pas à employer les châtiments corporels, histoire de bien vous faire rentrer les règles dans la tête. 

Je ne comprends toujours pas le "silence" des parents.

La crème du gratin était là !!!!!

Tout ce parterre de gens bien pensants pétris de certitude,  étaient là,

à l'endroit où il fallait sans doute se faire voir…

Vous y croyez, vous, que cela existe « le gratin » ?

Je regardais toutes ces personnes devant moi… elle, tiens, Mme A qui savait si bien avancer masquée ; ou lui qui avait construit sa carrière sur des mensonges ; quant à celui-là, à ma gauche, sa vie nocturne dissipée commençait à bien se voir sur son visage aux yeux cernés ;

Et celui-là, devenu ministre aux dents longues,a-t-il oublié le peu de rigueur dont il a fait preuve quand il a fermé son entreprise au cours des vacances, et qu'il a laissé tout son personnel sur le carreau…sans indemnités ni quoi que ce soit ;

Je regardais tout ces gens devant moi, venus sans invitation à cette soirée caritative et me disait que cet événement éphémère… était pour la bonne cause ! Cette récolte d’argent dont ces enfants avaient tant besoin devait être ma seule motivation !

Armée d’un micro, je commençais à parler… J’avais retrouvé mes esprits et étais tout à cette soirée… ne pensant qu’aux enfants, rien qu’à eux !!!!!!

Merci Nicole pour ce joli tuto 

sortie juste de mon imagination avec un tube perso...

Je suis en pause pour quelque temps !

pas trop le moral !!! mais ça reviendra !

Un événement familial a réveillé des souvenirs douloureux !

alors j'écris ! j'écris pour évacuer tout ce trop plein de douleurs !

Je vais y arriver !

à Bientôt 

Lady

Silencieuse, elle écoutait les bruits du jardin dans le petit matin et espérait que ses habitants ne la remarqueraient pas.

Un oiseau dans la haie s'envola, pressé. Elle ne voulait pas l'apeurer mais les oiseaux ont toujours un oeil aux aguets. Sans doute un moineau se dit-elle, à son vol je pense ne pas me tromper.

Elle avait toujours à coeur de reconnaître chaque locataire du jardin et de le nommer avec exactitude... Comme par respect pour la nature !

En fait c'était elle l'hôte du jardin. Il ne lui appartenait pas, il était à eux ! Elle aimait cette idée !

Le vent frais glissa délicieusement sur sa peau, comme une caresse douce. Après tout ce temps de canicule, elle avait enfin, cette impression de respirer librement, dans une nature qu'elle voulait libre, sans contrainte.

Un merle vint se poser sur la plus haute branche du cerisier et lança sa première trille, suivie de beaucoup d'autres. Ils étaient rares, en cette fin juillet, les oiseaux qui chantaient encore, le chant du "attention je suis sur mon territoire" !

Elle profita pleinement de ce concert rien que pour elle.  

Mais soudain, les aboiements du chien voisin vinrent troubler cette quiétude et raviver la douleur infligée il y a quelques années. Rien à faire, elle n'oublierait jamais.

Ceux qui la connaissent bien savent la douleur éprouvée par ses aboiements incessants qui ont duré des années, qui l'avaient épuisée moralement au point qu'elle ne pouvait plus rien faire, au point qu'elle avait du demander de l'aide...

L'orage

L'orage sévissait depuis des heures sur la ville. Dans leurs 3 pièces sous les toits de Paris, Lucas était seul avec sa maman qui dormait dans la chambre voisine. Lui ne dormait pas.. Son angoisse montait au fur et à mesure des coups de tonnerre de plus en plus rapprochés et violents. Il pensait bien rejoindre sa maman, mais à son âge, il risquait de se faire rabrouer.

A pas feutré, armé de son doudou qui ne le quittait jamais la nuit, il décida d'aller boire un verre de jus de fruit dans la cuisine. Pas besoin de lumière, les volets restés ouverts laissaient entrer l'éclat intense des éclairs !

Arrivé à la cuisine, il se désaltéra et se retourna, surpris. Il n'était pas seul dans la cuisine et dans sa frayeur, l'enfant lâcha la bouteille qui vint se briser sur le carrelage, l'éclaboussant ainsi que les meubles alentours.

Tétanisé, Lucas sentait la fraîcheur collante du jus de fruit sur son pyjama. Entre deux éclairs, l'homme prenait des allures de fantôme. L'enfant ne quittait pas des yeux cette silhouette inquiétante.

Lucas n'osait même plus respirer. Que faire ? L'adrénaline le faisait réfléchir à grande vitesse et il essayait de trouver une solution de repli.

Réfléchir !!!!!! vite dit ! Alors que chaque coup de tonnerre le paralysait un peu plus et mettait son cerveau en ébullition. Il ferma les yeux.

Les images défilaient vivement dans sa tête : sa maman tout près, son papa qui ne rentrait pas du travail, sa chambre, ce refuge qu'il aurait tant aimé ne jamais avoir quitté...

Il pensait aussi à tous ces éclats de verre, à terre, alors qu'il était pieds nus.

Soudain, il eut l'idée de tendre la main sur la gauche afin d'appuyer sur l'interrupteur, et la cuisine aux murs bleus, fut soudain inondée de lumière.

Dans le coin, se tenait son papa qu'il n'avait pas entendu rentrer. Pas étonnant vu le fracas.

Lucas, les yeux pleins de larmes, le regardait, incapable de prononcer une parole !