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atelier 121 de ma Ghis
Depuis cet arrêt brutal de la vie, en mars, l'enfermement imposé, je me sens vide, comme absente. Les idées tour à tour, se bousculent ou me manquent comme jamais. Les événements si anodins soient-ils, entraînent des émotions irrationnelles, comme si l'avenir se présentait comme un infini chaos. Les mots n'ont plus la même valeur ; vais-je arriver à finir ce texte ? Va-t-on voir la fin de ce cauchemar ? Vais-je retrouver un soupçon de sérénité ?